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Norman McLaren

  • André S. Labarthe
2006
55

Synopsis

Dans cet entretien réalisé en 1967 par Guy Cotte, Norman McLaren retrace son parcours de pionnier du cinéma d’animation, commencé dans les années 1930 à Londres, puis à Montréal en passant par New York. La “mise en page” d’André S Labarthe, déduite de la forme même des films de McLaren, offre ici une expérience documentaire des plus stimulantes.

A l’origine du travail de McLaren, on trouve la certitude qu’un mouvement, qu’un rythme peut émouvoir quelle que soit la chose représentée. Un programme que Norman McLaren a tenté d’appliquer dans des films graphiques, le plus souvent abstraits, sur un mode musical plus que discursif. “Fiddle-De-Dee”, “Camera makes Woopee”, “Dots”, “Loops”, “Allegro” ou “Vertical lines” sont ainsi de courtes fantaisies géométriques et rythmiques proches des films de son aïné Len Lye. Leur création fut l’occasion d’expérimenter dès 1937 de nouvelles techniques de fabrication de films, sans caméra, en peignant ou en grattant la pellicule – il invente au passage un procédé de bande sonore synthétique, qui lui permet d’exploiter son intérêt pour les musiques populaires.

Mots clés

Dans cet entretien réalisé en 1967 par Guy Cotte, Norman McLaren retrace son parcours de pionnier du cinéma d’animation, commencé dans les années 1930 à Londres, puis à Montréal en passant par New York. La “mise en page” d’André S Labarthe, déduite de la forme même des films de McLaren, offre ici une expérience documentaire des plus stimulantes.

A l’origine du travail de McLaren, on trouve la certitude qu’un mouvement, qu’un rythme peut émouvoir quelle que soit la chose représentée. Un programme que Norman McLaren a tenté d’appliquer dans des films graphiques, le plus souvent abstraits, sur un mode musical plus que discursif. “Fiddle-De-Dee”, “Camera makes Woopee”, “Dots”, “Loops”, “Allegro” ou “Vertical lines” sont ainsi de courtes fantaisies géométriques et rythmiques proches des films de son aïné Len Lye. Leur création fut l’occasion d’expérimenter dès 1937 de nouvelles techniques de fabrication de films, sans caméra, en peignant ou en grattant la pellicule – il invente au passage un procédé de bande sonore synthétique, qui lui permet d’exploiter son intérêt pour les musiques populaires.

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