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David Cronenberg : I Have to Make the Word Be Flesh (Je dois donner chair au verbe)

  • André S. Labarthe
1999
69

Synopsis

Que le cinéma de David Cronenberg, dont on dit souvent qu’il est chirurgical, se prête au scalpel de la critique est un renversement des plus stimulants…

Alternant extraits de films – Le Festin nu, La Mouche, Videodrome, etc. – et discussions que ces oeuvres soulèvent, André S.Labarthe va subtilement travailler la rhétorique de ce genre d’exercice, qui relève plus d’une épistémologie que d’une esthétique.

En 20 ans et 12 longs métrages, David Cronenberg s’est imposé comme le cinéaste canadien le plus réputé.
Le jeune Cronenberg a inventé une nouvelle forme de science-fiction (organique, médicale, rationnelle et existentielle) plutôt que de tomber dans les ornières du cinéma psychologisant ; ce qui n’a pas manqué d’attirer sur lui les foudres des pionniers du politiquement correct. Ses quatre premiers films – Shivers (Frissons), Rabid (Rage), The Brood (Chromosome 3) et Scanners – l’ont imposé comme le cinéaste le plus “choquant”, mais aussi le plus inventif d’un genre (l’horreur, le gore) jusque-là considéré comme vulgaire.
The Fly (La Mouche), passionnante variation sur la maladie et la mort, et Dead Ringers (Faux-semblants) lui valurent une reconnaissance définitive comme l’un des metteurs en scène les plus importants d’aujourd’hui.
Cronenberg reste le cinéaste de toutes les audaces. Il est l’un des rares metteurs en scène nord-américains dont on reconnaisse le style dès les premières séquences.

Mots clés

  • Cronenberg
  • David

Que le cinéma de David Cronenberg, dont on dit souvent qu’il est chirurgical, se prête au scalpel de la critique est un renversement des plus stimulants…

Alternant extraits de films – Le Festin nu, La Mouche, Videodrome, etc. – et discussions que ces oeuvres soulèvent, André S.Labarthe va subtilement travailler la rhétorique de ce genre d’exercice, qui relève plus d’une épistémologie que d’une esthétique.

En 20 ans et 12 longs métrages, David Cronenberg s’est imposé comme le cinéaste canadien le plus réputé.
Le jeune Cronenberg a inventé une nouvelle forme de science-fiction (organique, médicale, rationnelle et existentielle) plutôt que de tomber dans les ornières du cinéma psychologisant ; ce qui n’a pas manqué d’attirer sur lui les foudres des pionniers du politiquement correct. Ses quatre premiers films – Shivers (Frissons), Rabid (Rage), The Brood (Chromosome 3) et Scanners – l’ont imposé comme le cinéaste le plus “choquant”, mais aussi le plus inventif d’un genre (l’horreur, le gore) jusque-là considéré comme vulgaire.
The Fly (La Mouche), passionnante variation sur la maladie et la mort, et Dead Ringers (Faux-semblants) lui valurent une reconnaissance définitive comme l’un des metteurs en scène les plus importants d’aujourd’hui.
Cronenberg reste le cinéaste de toutes les audaces. Il est l’un des rares metteurs en scène nord-américains dont on reconnaisse le style dès les premières séquences.

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