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No comment

  • André S. Labarthe
2011
50

Synopsis

Comment aborder Film Socialisme de Jean-Luc Godard, sorti en 2011 ? Par sa face maritime ou continentale, son versant historique ou politique ? Sous la houlette d’André S. Labarthe et du collectif Independencia, plusieurs critiques, images à l’appui, échangent autour du film et tâchent de relever le défi que semble nous adresser Godard : faire le cinéma de demain, écrire l’histoire de demain.

Deviser seul face à l’écran (Philippe-Emmanuel Sorlin), être interviewé (Jean Douchet), dialoguer (Yannick Haenel, Jean Narboni, Marc’O et Cyril Neyrat) ou interpeler (Eugenio Renzi), privilégier l’arrêt sur image, ou s’efforcer au contraire de retrouver rythme et musicalité du film : “No comment”, nous dit Labarthe après Godard, mais c’est pour mieux démultiplier au contraire la forme du commentaire, comme pour être sûr de ne rien perdre d’un Film Socialisme à la signifiance inépuisable. Sans doute s’agit-il ici de rompre également avec la forme de nombreux “portraits de films” trop univoques, de recréer donc ce qui appartient à la légende de la cinéphilie française, au même titre que les Narboni, Douchet et Labarthe – sans oublier Godard lui-même : la conversation, l’échange de vues comme premier moment où s’écrit la critique (qu’elle soit “frôlante”, comme le dit Haenel, ou moins bien intentionnée), et où, pour Godard, s’est toujours conçu le film.

(Mathieu Capel)

Mots clés

Comment aborder Film Socialisme de Jean-Luc Godard, sorti en 2011 ? Par sa face maritime ou continentale, son versant historique ou politique ? Sous la houlette d’André S. Labarthe et du collectif Independencia, plusieurs critiques, images à l’appui, échangent autour du film et tâchent de relever le défi que semble nous adresser Godard : faire le cinéma de demain, écrire l’histoire de demain.

Deviser seul face à l’écran (Philippe-Emmanuel Sorlin), être interviewé (Jean Douchet), dialoguer (Yannick Haenel, Jean Narboni, Marc’O et Cyril Neyrat) ou interpeler (Eugenio Renzi), privilégier l’arrêt sur image, ou s’efforcer au contraire de retrouver rythme et musicalité du film : “No comment”, nous dit Labarthe après Godard, mais c’est pour mieux démultiplier au contraire la forme du commentaire, comme pour être sûr de ne rien perdre d’un Film Socialisme à la signifiance inépuisable. Sans doute s’agit-il ici de rompre également avec la forme de nombreux “portraits de films” trop univoques, de recréer donc ce qui appartient à la légende de la cinéphilie française, au même titre que les Narboni, Douchet et Labarthe – sans oublier Godard lui-même : la conversation, l’échange de vues comme premier moment où s’écrit la critique (qu’elle soit “frôlante”, comme le dit Haenel, ou moins bien intentionnée), et où, pour Godard, s’est toujours conçu le film.

(Mathieu Capel)

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