La grande époque de la vapeur reste le trait d’union entre cheminots d’hier et d’aujourd’hui. Elle véhicule une mémoire, celle d’hommes qui, comme Georges, en ont bavé, qui s’y sont sali les pattes, mais qui disent plus jamais avec un accent de nostalgie ; des jeunes qui, comme Richard, se sont engagé aux commandes d’une automotrice ou d’un autorail parce que leur enfance s’est forgée au rythme des derniers trains à vapeur. Un chaleureux hommage à ces hommes -et à leurs épouses- qui ont la passion de leur métier de roulant.