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Tableau avec chutes – Voyage dans un tableau de Pieter Brueghel, “Paysage avec la chute d’Isard”, peint vers 1555 quelque part en Belgique

  • Claudio Pazienza
1997
102

Synopsis

Dédié à ses parents, le voyage de Claudio Pazienza dans le tableau de Bruegel est un “work in progress” jubilatoire où les multiples intervenants du film sont amenés à entrer dans les questionnements suscités par la toile. Filmé de juin à octobre 1996, ce journal, parsemé d’actualités, propose aussi une vue en coupe de la Belgique pendant cette période.

« Un homme laboure son champ, un berger regarde le ciel, un bateau navigue lentement vers le port, la mer est calme. un homme se noie. » Dans le tableau, Icare, le naufragé, n’est pas en évidence visuelle. Mais il est là. Avec ce constat, Pazienza part en quête. Les questions se déclinent : sur la réalité des images et l’indifférence à ce qu’on ne sait pas voir, sur la sélection qu’opère le point de vue et la violence qui en découle. Peut-on tout voir ? Voir, est-ce interpréter ? Le regard est-il un leurre ? Regarder, c’est peut-être avoir une certaine idée du bonheur… L’histoire d’Isard, passion et chute, opposée à l’art de ne pas tomber, s’entrelace avec celles de conflits sociaux, jusqu’au jour où le pays entier accuse les gouvernants de ne pas avoir voulu voir ce qu’il fallait voir.

Mots clés

  • Belgique
  • Peinture
  • Portrait
  • Sociologie

Dédié à ses parents, le voyage de Claudio Pazienza dans le tableau de Bruegel est un “work in progress” jubilatoire où les multiples intervenants du film sont amenés à entrer dans les questionnements suscités par la toile. Filmé de juin à octobre 1996, ce journal, parsemé d’actualités, propose aussi une vue en coupe de la Belgique pendant cette période.

« Un homme laboure son champ, un berger regarde le ciel, un bateau navigue lentement vers le port, la mer est calme. un homme se noie. » Dans le tableau, Icare, le naufragé, n’est pas en évidence visuelle. Mais il est là. Avec ce constat, Pazienza part en quête. Les questions se déclinent : sur la réalité des images et l’indifférence à ce qu’on ne sait pas voir, sur la sélection qu’opère le point de vue et la violence qui en découle. Peut-on tout voir ? Voir, est-ce interpréter ? Le regard est-il un leurre ? Regarder, c’est peut-être avoir une certaine idée du bonheur… L’histoire d’Isard, passion et chute, opposée à l’art de ne pas tomber, s’entrelace avec celles de conflits sociaux, jusqu’au jour où le pays entier accuse les gouvernants de ne pas avoir voulu voir ce qu’il fallait voir.

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