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Assassins d’eau douce

  • Jean Painlevé
1947
25

Synopsis

“On retrouve la cruauté de Vampire avec Assassins d’eau douce, le film qui marque le retour de Jean Painlevé au cinéma après ses activités à la tête du CNC à la Libération.
Dans des mares autour de Paris, toutes sortes d’insectes aquatiques et de larves s’entre-dévorent. Mandibules broyeuses, pompes qui injectent dans la proie un liquide digestif qu’elles réaspirent, becs suceurs, etc., l’insoutenable de ces scènes de carnage mises bout à bout est accentué par les musiques de Duke Elington et Jimmy Lunceford. Le film est un des plus longs des films publics de Jean Painlevé…
Dans un des seuls articles écrits après-guerre sur le cinéma de Painlevé, Bazin racontera que même les ciné-clubs huaient Assassins d’eau douce.”
Hélène Hazéra, “Positif”, 1990.

“Rien ne bouge dans l’eau. Mais à tous les coins d’algues, derrière chaque racine de prêle ou tapis sous les feuilles mortes, des guetteurs vivent embusqués. Manger, être mangé, sont les aboutissements de chaque instant, la nuit comme le jour. Nuit et jour, la mort sans colère, sans passion, sans réflexion, sans atermoiements, sans morale, la mort nécessaire: c’est pour le besoin.” Jean Painlevé

Ce film est présent sur le DVD L’Hippocampe ou le cheval marin… qui inclut L’Hippocampe ou cheval marin (1933), Le Bernard l’Ermite (1927), Crabes et crevettes (1930), Le Vampire (1945), Assassins d’eau douce (1947) et Solutions françaises (1939).

Mots clés

“On retrouve la cruauté de Vampire avec Assassins d’eau douce, le film qui marque le retour de Jean Painlevé au cinéma après ses activités à la tête du CNC à la Libération.
Dans des mares autour de Paris, toutes sortes d’insectes aquatiques et de larves s’entre-dévorent. Mandibules broyeuses, pompes qui injectent dans la proie un liquide digestif qu’elles réaspirent, becs suceurs, etc., l’insoutenable de ces scènes de carnage mises bout à bout est accentué par les musiques de Duke Ellington et Jimmy Lunceford. Le film est un des plus longs des films publics de Jean Painlevé…
Dans un des seuls articles écrits après-guerre sur le cinéma de Painlevé, Bazin racontera que même les ciné-clubs huaient Assassins d’eau douce.”
Hélène Hazéra, “Positif”, 1990.

“Rien ne bouge dans l’eau. Mais à tous les coins d’algues, derrière chaque racine de prêle ou tapis sous les feuilles mortes, des guetteurs vivent embusqués. Manger, être mangé, sont les aboutissements de chaque instant, la nuit comme le jour. Nuit et jour, la mort sans colère, sans passion, sans réflexion, sans atermoiements, sans morale, la mort nécessaire: c’est pour le besoin.” Jean Painlevé

Ce film est présent sur le DVD L’Hippocampe ou le cheval marin… qui inclut L’Hippocampe ou le cheval marin (1933), Le Bernard l’Ermite (1927), Crabes et crevettes (1930), Le Vampire (1945), Assassins d’eau douce (1947) et Solutions françaises (1939).

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