Actualités ou cinéma de fiction : les images des années 20 se caractérisent toutes par une même fuite du réel. « On danse beaucoup, dans la vie comme dans les films », constate Claude-Jean Philippe qui ne distingue pas les vrais danseurs du 14 juillet des figurants de Cavalcanti. Il faut attendre « L’Argent » de Marcel L’Herbier, d’après Zola, pour voir le cinéma français « à l’heure de son temps ».