Fasciné par l’histoire et les mythes, Abel Gance les soumet à un art du futur : Claude-Jean Philippe voit en lui le Griffith du cinéma français. De larges extraits de “J’accuse” (1918), “La Rouge” (1920) et “Napoléon” (1924) permettent de saisir l’éventail des innovations techniques qu’il a mises au service d’un nouveau langage.