Tourné en 197, dans un petit village de l’Aude, le film se laisse porter par une caméra ” en vacances qui vit au rythme de ce qu’elle observe. Le cinéaste construit son film comme un recueil d’images autonomes, qui, réunies, composent un univers mental : bonheur familial, fragments de quelques-uns de ses films antérieurs, hommage au saxophoniste Ben Webster, deux poèmes de Rmeco Campert et Lucebert, un portrait du grand-père du cinéaste qui lui avait appris la photographie dès l’âge de douze ans…
Une réflexion sur l’enfance, la vieillesse, le cinéma et la photographie, le temps et la mémoire.