Deux élèves incarnent « L’Infante et Chimène ». Parallèlement, la caméra suit Martine, l’Infante, dans sa vie quotidienne. Les deux espaces se prolongent, la bande son fait la médiation. Vitez évoque l’exigence acquise par les élèves du conservatoire, puis la misère artistique et matérielle dans laquelle ils se retrouvent souvent. Il espère qu’ils sauront faire pression pour que les choses changent.