Ce film est une lettre filmée à un ami disparu. Il nous rappelle son oeuvre déjà oubliée, celle du grand éditeur des grandes romancières anglo-saxonnes : André Bay.
Il évoque aussi sa maison d’écrivain, ses livres, ses amours, et le rapide anéantissement qui les guette. Comme une “Vanité”, il pose la question de notre bref éclat dans le monde.
Ce film comporte des rushs de Vieillir, de Chloé Hunzinger, Real productions, 2004.