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Homme à la renverse (L’)

  • Jean-Baptiste Mathieu
1991
32

Synopsis

Filmé dans ses ateliers successifs, Bernard Quesniaux se livre à un corps à corps avec la peinture. La caméra le suit dans toutes les phases de sa création, d’une esquisse suggérée par un toit tâché, au séchage de l’œuvre au ventilateur. Sous nos yeux, il expérimente de multiples matériaux au gré des joies et déceptions provoquées par leur évolution. D’abord montré au travail sur des supports posés à même le sol, on le retrouve ensuite à son bureau, préparant les maquettes qu’il projettera directement sur les toiles de grand format. Passant ainsi du feutre à la peinture, il cherche à préserver les traces de matières superposées et la luminosité. Pieds nus dans la peinture, jouant des pinceaux ou de ses mains, il module l’écoulement des pots et bidons, mélange, saupoudre, verse, étale, enlève, gratte, observe, et trace des silhouettes noires parfois accompagnées de légendes. D’abord monochromatiques, les polyptyques sont animés par l’ajout de personnages qui se répondent d’un panneau à l’autre. Pendant tout le film, l’artiste et le réalisateur s’interpellent par l’intermédiaire de la caméra.

Mots clés

  • Bernard
  • Quesniaux

Filmé dans ses ateliers successifs, Bernard Quesniaux se livre à un corps à corps avec la peinture. La caméra le suit dans toutes les phases de sa création, d’une esquisse suggérée par un toit tâché, au séchage de l’œuvre au ventilateur. Sous nos yeux, il expérimente de multiples matériaux au gré des joies et déceptions provoquées par leur évolution. D’abord montré au travail sur des supports posés à même le sol, on le retrouve ensuite à son bureau, préparant les maquettes qu’il projettera directement sur les toiles de grand format. Passant ainsi du feutre à la peinture, il cherche à préserver les traces de matières superposées et la luminosité. Pieds nus dans la peinture, jouant des pinceaux ou de ses mains, il module l’écoulement des pots et bidons, mélange, saupoudre, verse, étale, enlève, gratte, observe, et trace des silhouettes noires parfois accompagnées de légendes. D’abord monochromatiques, les polyptyques sont animés par l’ajout de personnages qui se répondent d’un panneau à l’autre. Pendant tout le film, l’artiste et le réalisateur s’interpellent par l’intermédiaire de la caméra.

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