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Armand Gatti à Marseille

  • Hélène Châtelain
  • Stéphane Gatti
1993
85 + 44 + 90 + 28

Synopsis

Sous la forme d’un livre (texte de la pièrce et historique) et de quatre films, l’expérience d’action théâtrale d’Armand Gatti auprès des “exclus” de la ville de Marseille.

La Reconstitution de l’esplanade Loreto (Stéphane Gatti – 1991)

Sous la forme d’un compte à rebours, de janvier à juillet 1991, ponctué d’images télévisées d’informations locales ou internationales, ce film retrace les six mois de préparation de la pièce d’Armand Gatti Le Cinécadre de l’esplanade Loreto.
Entretiens avec l’auteur ou les comédiens stagiaires, extraits du spectacle et du film Qui suis-je ? Marseille 1990, le film laisse surtout la place aux séances de travail de Gatti avec ses acteurs.

Qui suis-je ? (Hélène Châtelain – 1991)

Treize récits autobiographiques racontés face à la caméra, présentés ainsi au début du film : “Écrits et enregistrés par les exclus eux-mêmes, pour être projetés au début de la pièce Le Cinécadre de l’esplanade Loreto (écrite et mise en scène par Armand Gatti). Ces fragments de vie sont aussi leur première confrontation au monde de l’écriture.” Le dispositif : un espace, une personne, un destin et une question : “Qui suis-je ?”

Le cinécadre de l’esplanade Loreto reconstitué à Marseille pour la grande parade des pays de l’Est (Stéphane Gatti – 1990)

Film de la pièce présentée par Armand Gatti à Marseille du 9 au 12 juillet 1990 dans le studio de FR3.

Jamais le chant des oiseaux n’avait été si fraternel (Stéphane Gatti – 1990)

Dans un cadre de verdure bercé par le chant des cigales où la lumière du midi filtre à travers une haie, Armand Gatti est assis sur un tabouret, face à la caméra. Il nous parle de sa conception du théâtre comme art de la parole, en rejetant la fonction “tiroir-caisse” du spectacle. Il revendique un art de la prise de conscience et donne une exigence à sa pratique théâtrale en faisant de la langue et du langage son absolu.

Mots clés

Sous la forme d’un livre (texte de la pièrce et historique) et de quatre films, l’expérience d’action théâtrale d’Armand Gatti auprès des “exclus” de la ville de Marseille.

La Reconstitution de l’esplanade Loreto (Stéphane Gatti – 1991)

Sous la forme d’un compte à rebours, de janvier à juillet 1991, ponctué d’images télévisées d’informations locales ou internationales, ce film retrace les six mois de préparation de la pièce d’Armand Gatti Le Cinécadre de l’esplanade Loreto.
Entretiens avec l’auteur ou les comédiens stagiaires, extraits du spectacle et du film Qui suis-je ? Marseille 1990, le film laisse surtout la place aux séances de travail de Gatti avec ses acteurs.

Qui suis-je ? (Hélène Châtelain – 1991)

Treize récits autobiographiques racontés face à la caméra, présentés ainsi au début du film : “Écrits et enregistrés par les exclus eux-mêmes, pour être projetés au début de la pièce Le Cinécadre de l’esplanade Loreto (écrite et mise en scène par Armand Gatti). Ces fragments de vie sont aussi leur première confrontation au monde de l’écriture.” Le dispositif : un espace, une personne, un destin et une question : “Qui suis-je ?”

Le cinécadre de l’esplanade Loreto reconstitué à Marseille pour la grande parade des pays de l’Est (Stéphane Gatti – 1990)

Film de la pièce présentée par Armand Gatti à Marseille du 9 au 12 juillet 1990 dans le studio de FR3.

Jamais le chant des oiseaux n’avait été si fraternel (Stéphane Gatti – 1990)

Dans un cadre de verdure bercé par le chant des cigales où la lumière du midi filtre à travers une haie, Armand Gatti est assis sur un tabouret, face à la caméra. Il nous parle de sa conception du théâtre comme art de la parole, en rejetant la fonction “tiroir-caisse” du spectacle. Il revendique un art de la prise de conscience et donne une exigence à sa pratique théâtrale en faisant de la langue et du langage son absolu.

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