Comment penser le devenir des grands ensembles construits entre 1945 et 1976 ? Faut-il les raser, comme le préconisait le discours critique des années 1980, ou bien les réhabiliter dans un souci d’intégration à l’environnement urbain ? Sont présentées ici plusieurs opérations de réhabilitation conduites dans les années 1990 par des architectes convaincus de la nécessité de « magnifier un urbain en déshérence ».