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Alain Cavalier, 7 chapitres, 5 jours, 2 pièces-cuisine

  • Jean Pierre Limosin
1995
52

Synopsis

Alain Cavalier a fait des visages et des mains les mediums privilégiés d’un cinéma janséniste, mystique, dont la forme s’épure de plus en plus, film après film, pour mieux dépeindre la nature humaine. L’auteur de Thérèse (1986) nous invite ici chez lui, à découvrir photographies, bandes vidéos, tableaux et objets qui sont autant d’entrées dans son univers, sa démarche et son inspiration.

Alain Cavalier ouvre l’album où il conserve avec soin les photographies qui l’ont frappé, revoit les essais de Catherine Mouchet pour le rôle de Thérèse, essaie de nous décrire ce qui l’émeut et l’attire dans certains visages, chez certaines actrices. L’appréhension muette, presqu’une terreur sacrée, qu’il éprouve à filmer ces visages a fondé sa démarche, cette volonté de se débarrasser du superflu, du maquillage par exemple, de simplifier au maximum les décors qui en deviennent quasi ascétiques, pour permettre au spectateur de se concentrer sur l’essentiel. Une oeuvre singulière et habitée, onze films et un archivage en 24 portraits d’ouvrières du travail manuel féminin : des images qui ne sont en rien “dictées par les lois de l’argent”.

(Pascal Richou)

Mots clés

  • Alain
  • Cavalier

Alain Cavalier a fait des visages et des mains les mediums privilégiés d’un cinéma janséniste, mystique, dont la forme s’épure de plus en plus, film après film, pour mieux dépeindre la nature humaine. L’auteur de Thérèse (1986) nous invite ici chez lui, à découvrir photographies, bandes vidéos, tableaux et objets qui sont autant d’entrées dans son univers, sa démarche et son inspiration.

Alain Cavalier ouvre l’album où il conserve avec soin les photographies qui l’ont frappé, revoit les essais de Catherine Mouchet pour le rôle de Thérèse, essaie de nous décrire ce qui l’émeut et l’attire dans certains visages, chez certaines actrices. L’appréhension muette, presqu’une terreur sacrée, qu’il éprouve à filmer ces visages a fondé sa démarche, cette volonté de se débarrasser du superflu, du maquillage par exemple, de simplifier au maximum les décors qui en deviennent quasi ascétiques, pour permettre au spectateur de se concentrer sur l’essentiel. Une oeuvre singulière et habitée, onze films et un archivage en 24 portraits d’ouvrières du travail manuel féminin : des images qui ne sont en rien “dictées par les lois de l’argent”.

(Pascal Richou)

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