Dans le salon d’un hôtel parisien, Volker Schlöndorff, cinéaste allemand auquel on doit « Le Coup de grâce » (1976), « Le Tambour » (1979) et « Le Roi des Aulnes » (1996), analyse les rôles conjugués que tiennent dans son art la peinture, la littérature et l’histoire allemande. S’exprimant dans un français impeccable, le metteur en scène retrace pour nous ses parcours de cinéphile et de cinéaste.