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Supports-Surfaces

  • William Mimouni
1991
30

Synopsis

“20 ans après”, ainsi aurait pu s’intituler la rétrospective du groupe Supports-Surfaces aujourd’hui dissous, au musée d’art moderne de Saint-Etienne au printemps 1991. Au cours de la visite minutieuse et attentive de l’exposition, on fait le point en rencontrant trois des artistes du groupe (Viallat, Cane, Pincemin) et Bernard Ceysson, commissaire de l’exposition.

En dépit de l’opposition de certains membres du groupe, Bernard Ceysson a voulu organiser cette rétrospective de Supports-Surfaces, vingt ans après celle organisée par Pierre Gaudibert à l’ARC à Paris. Mais il ne s’est pas contenté de rassembler les oeuvres comme témoins historiques ; il a voulu “donner à voir” les oeuvres de ce mouvement perçu comme essentiellement théorique, parce qu’affilié, par sa revue Peinture/Cahiers théoriques, à Tel Quel (Philippe Sollers et Marcelin Pleynet). Dans une grande cohérence de propos, suivant le principe même de l’exposition, William Mimouni s’est refusé à n’utiliser celle-ci que pour dresser un bilan : par la visite salle par salle, artiste par artiste, en une série de travellings et de gros plans, il attire l’oeil sur la matérialité des oeuvres in situ.

(Soraya Hamidi)

Mots clés

“20 ans après”, ainsi aurait pu s’intituler la rétrospective du groupe Supports-Surfaces aujourd’hui dissous, au musée d’art moderne de Saint-Etienne au printemps 1991. Au cours de la visite minutieuse et attentive de l’exposition, on fait le point en rencontrant trois des artistes du groupe (Viallat, Cane, Pincemin) et Bernard Ceysson, commissaire de l’exposition.

En dépit de l’opposition de certains membres du groupe, Bernard Ceysson a voulu organiser cette rétrospective de Supports-Surfaces, vingt ans après celle organisée par Pierre Gaudibert à l’ARC à Paris. Mais il ne s’est pas contenté de rassembler les oeuvres comme témoins historiques ; il a voulu “donner à voir” les oeuvres de ce mouvement perçu comme essentiellement théorique, parce qu’affilié, par sa revue Peinture/Cahiers théoriques, à Tel Quel (Philippe Sollers et Marcelin Pleynet). Dans une grande cohérence de propos, suivant le principe même de l’exposition, William Mimouni s’est refusé à n’utiliser celle-ci que pour dresser un bilan : par la visite salle par salle, artiste par artiste, en une série de travellings et de gros plans, il attire l’oeil sur la matérialité des oeuvres in situ.

(Soraya Hamidi)

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