Claude Lanzmann explique : « C’est à partir d’un entretien que m’avait accordé Yehuda Lerner à Jérusalem, en 1979, pendant le tournage de Shoah que j’ai réalisé Sobibór, 14 octobre 1943, 16 heures, lieu, jour, mois, année, heure de la seule révolte réussie d’un camp d’extermination nazi. »
Dans les paysages et les lieux d’aujourd’hui qui sont immuablement ceux d’alors, le David non-violent qui porta le premier coup mortel, se fait le héros d’un film mythologique et le maître d’un suspense qui croît jusqu’à la dernière image, à l’instant où se réinstaurent l’ordre humain et le règne de la liberté.
Ce film est présenté sur un DVD avec Un vivant qui passe