Si le polonais Roman Cieslewicz parle par écran de télévision interposé, c’est parce qu’il est obsédé par les images. Il les pille ; celles de l’école flamande et de la Renaissance ont sa prédilection. Il les ‘ »réactualise » sous la forme de photomontages beaux comme des rêves et efficaces comme des « provocations de pensée », qui souvent deviennent des affiches.