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Pierre Soulages, regards

  • Thierry Spitzer
1996
57

Synopsis

Chez lui à Sète et à l’occasion d’une rétrospective de ses oeuvres à Pékin en 1996, Pierre Soulages parle de ses 50 ans de peinture abstraite, et de la continuité implacable de son travail sur le noir quasi exclusif. Avec une grande simplicité, il évoque les bases de sa peinture : rythme, lumière, espace, émotions, et l’importance d’être à l’écoute de soi tout en étant sensible à ce que révèle le matériau.

“Lorsqu’il travaille dans son atelier à Sète, Soulages dépose une pierre devant sa porte pour signifier qu’il entend de pas être dérangé. Il n’est donc pas question ici de filmer le peintre dans l’action créatrice, mais plutôt de l’accompagner dans d’autres étapes du travail, de la fabrication des outils et pinceaux jusqu’à la reproduction des oeuvres dans un catalogue. Thierry Spitzer le suit lors de l’accrochage des toiles à Pékin, où il est attentif à créer un rythme qui aide à l’appréhension par le public. Avec une grande simplicité, Pierre Soulages évoque les bases de sa peinture : rythme, lumière, espace, émotions, et l’importance d’être à l’écoute de soi tout en étant sensible à ce que révèle le matériau.” (Louise Maisons)

Mots clés

Chez lui à Sète et à l’occasion d’une rétrospective de ses oeuvres à Pékin en 1996, Pierre Soulages parle de ses 50 ans de peinture abstraite, et de la continuité implacable de son travail sur le noir quasi exclusif. Avec une grande simplicité, il évoque les bases de sa peinture : rythme, lumière, espace, émotions, et l’importance d’être à l’écoute de soi tout en étant sensible à ce que révèle le matériau.

“Lorsqu’il travaille dans son atelier à Sète, Soulages dépose une pierre devant sa porte pour signifier qu’il entend de pas être dérangé. Il n’est donc pas question ici de filmer le peintre dans l’action créatrice, mais plutôt de l’accompagner dans d’autres étapes du travail, de la fabrication des outils et pinceaux jusqu’à la reproduction des oeuvres dans un catalogue. Thierry Spitzer le suit lors de l’accrochage des toiles à Pékin, où il est attentif à créer un rythme qui aide à l’appréhension par le public. Avec une grande simplicité, Pierre Soulages évoque les bases de sa peinture : rythme, lumière, espace, émotions, et l’importance d’être à l’écoute de soi tout en étant sensible à ce que révèle le matériau.” (Louise Maisons)

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