Rechercher
Fermer ce champ de recherche.
  • Accueil
  • Films
  • Métro Lumière : Hou Hsiao-hsien à la rencontre de Yasujiro Ozu
  • Accueil
  • Films
  • Métro Lumière : Hou Hsiao-hsien à la rencontre de Yasujiro Ozu

Métro Lumière : Hou Hsiao-hsien à la rencontre de Yasujiro Ozu

  • Harold Manning
  • Lee Show-Chun
2004
59

Synopsis

“Made in Taïwan” indique plaisamment le générique defin… C’est en effet à Taipei, dans les locaux de sa sociétéde production, qu’Harold Manning interroge Hou Hsiao-hsien sur l’hommage cinématographique qu’il a rendu àOzu en 2003 avec Café Lumière. Irrigué par les proposdu cinéaste qui évoque cette commande japonaise,Métro Lumièresouligne ce qui rapproche et ce quisépare les deux maîtres, extraits de films à l’appui.Une boîte aux lettres et des camions ornésd’idéogrammes qui passent à vive allure. Le filmd’Harold Manning s’ouvre sous le double signe del’échange et de la circulation. Échange, tout d’abord,entre deux cinéastes, deux cultures, deux époques etdeux méthodes de travail. Au Japon, Hou Hsiao-hsien vagoûter au statut d’étranger. Il pallie son manque derepères grâce à un plan de Tokyo qui donne de lacapitale une image de labyrinthe. Dans Café Lumière,la circulation devient ainsi de façon symptomatique unsujet à part entière. Sans autorisation, habillé comme untouriste, le cinéaste taïwanais tourne sur les principaleslignes de métro. Lorsque Harold Manning lui demandein finece qu’il y a d’Ozu dans ce film, Hou Hsiao-hsienpart d’un grand éclat de rire.

Mots clés

  • Ozu
  • Yasujiro

“Made in Taïwan” indique plaisamment le générique defin… C’est en effet à Taipei, dans les locaux de sa sociétéde production, qu’Harold Manning interroge Hou Hsiao-hsien sur l’hommage cinématographique qu’il a rendu àOzu en 2003 avec Café Lumière. Irrigué par les proposdu cinéaste qui évoque cette commande japonaise,Métro Lumièresouligne ce qui rapproche et ce quisépare les deux maîtres, extraits de films à l’appui.Une boîte aux lettres et des camions ornésd’idéogrammes qui passent à vive allure. Le filmd’Harold Manning s’ouvre sous le double signe del’échange et de la circulation. Échange, tout d’abord,entre deux cinéastes, deux cultures, deux époques etdeux méthodes de travail. Au Japon, Hou Hsiao-hsien vagoûter au statut d’étranger. Il pallie son manque derepères grâce à un plan de Tokyo qui donne de lacapitale une image de labyrinthe. Dans Café Lumière,la circulation devient ainsi de façon symptomatique unsujet à part entière. Sans autorisation, habillé comme untouriste, le cinéaste taïwanais tourne sur les principaleslignes de métro. Lorsque Harold Manning lui demandein finece qu’il y a d’Ozu dans ce film, Hou Hsiao-hsienpart d’un grand éclat de rire.

Découvrir d'autres films du même réalisateur-ice

No results found.

D'autres pépites du monde documentaire

  • Raoul Ruiz