Françoise a perdu son mari brutalement il y a huit ans. En quelques instants, elle a été amenée à accepter le prélèvement du cœur de l’homme qu’elle aimait, sans l’accord explicite de celui-ci. Les difficultés à assumer cette décision l’on conduite à rencontrer des gens qui souffrent, comme une réponse à ses doutes. Désemparée, elle fait l’expérience de sa propre perte et tente de se donner la mort. Il lui faut faire le deuil si elle veut continuer à vivre. Aujourd’hui Françoise dit avoir tourné la page et nourrit l’espoir de retrouver un compagnon de cœur. La vie peut-elle reprendre à 50 ans ?
- Roland Muller
- 2007