Agnès Varda choisit de nous montrer ses « images de chevet » : une photo de sa mère, une autre des bois de son enfance, la reproduction d’une peinture d’H. Baldung Grien, celle d’une femme nue enlacée par un squelette, la beauté hantée par la mort, qui l’a inspirée pour son film « Cléo de 5 à 7 ». L’intime se dévoile et fait surgir l’émotion.