Mantes-la-Jolie, « célèbre » depuis les violences du Val Fourré en 1991, se fit écho du mal-vivre de toute une population. Images d’archives et témoignages d’anciens locataires revenus sur les lieux de leur passé nous rappellent que, dans les années 60, ce quartier était synonyme de bien-être et de modernité et qu’y était absente toute forme de « ghettoïsation » sociale ou ethnique.