« Avant mon départ pour Sarajevo, Esko m’a téléphoné. Je lui ai demandé : Pourquoi as-tu renoncé ? Il a simplement dit : Tu vas filmer les traces qu’il reste de moi là-bas. Était-ce une question, une affirmation, une proposition ? Je ne sais plus. Moi, je partais avec l’idée de faire un film sur un personnage disparu, un rêve déchu. »