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Veillées d’armes : histoire du journalisme en temps de guerre

  • Marcel Ophüls
1994
230

Synopsis

“La première victime de la guerre c’est la vérité…” C’est cette phrase en exergue du livre de Philip Knightley “The First Casualty”, qui m’a donné l’envie de faire un film sur les reporters…l’idée était simple : aller là où il y avait la guerre, près des piscines des grands hôtels et filmer les journalistes qui attendent en jouant au poker, qui soudoient la standardiste pour connaître les événements avant les autres, où trouver la première jeep, le premier hélicoptère. En 1993, je me suis soudain rendu compte qu’il avait des gens qui se faisaient flinguer en Yougoslavie et je me suis rendu à Sarajevo pour tourner ce qu’on appelle une critique des médias… Mais il me semble qu’à l’arrivée ce n’est plus l’essentiel… – Marcel Ophüls 1994

Deux périples au cœur de Sarajevo assiégé de 1993 entraînent le spectateur dans une odyssée baroque et violente à la rencontre des correspondants de guerre – photographes, reporters de télévision ou de presse écrite – allant du plus impliqué au présentateur vedette de passage…L’enquête de Marcel Ophüls confronte avec humour et pugnacité les interrogations essentielles sur la vérité et l’information-spectacle…

Ce coffret contient également le film “Marcel Ophüls, parole et musique” de François Niney et Bernard Bloch.

Dans sa maison de Lucq de Bearn, Marcel Ophüls a accepté de commenter des extraits choisis de ses films, en vue d’en tirer un discours de sa méthode… En interpellant à l’écran témoins ou protagonistes, le cinéaste ne cherche pas tant à leure faire évoquer des faits passés qu’à juger au présent des circonstances ou des actes commis alors. Au lieu de simplement regarder passer les trains de l’Histoire, les films de Marcel Ophüls nous engagent à juger de nos comportements.

Mots clés

La première victime de la guerre c’est la vérité…” C’est cette phrase en exergue du livre de Philip Knightley “The First Casualty”, qui m’a donné l’envie de faire un film sur les reporters…l’idée était simple : aller là où il y avait la guerre, près des piscines des grands hôtels et filmer les journalistes qui attendent en jouant au poker, qui soudoient la standardiste pour connaître les événements avant les autres, où trouver la première jeep, le premier hélicoptère. En 1993, je me suis soudain rendu compte qu’il avait des gens qui se faisaient flinguer en Yougoslavie et je me suis rendu à Sarajevo pour tourner ce qu’on appelle une critique des médias… Mais il me semble qu’à l’arrivée ce n’est plus l’essentiel… – Marcel Ophüls 1994

Deux périples au cœur de Sarajevo assiégé de 1993 entraînent le spectateur dans une odyssée baroque et violente à la rencontre des correspondants de guerre – photographes, reporters de télévision ou de presse écrite – allant du plus impliqué au présentateur vedette de passage…L’enquête de Marcel Ophüls confronte avec humour et pugnacité les interrogations essentielles sur la vérité et l’information-spectacle…

Ce coffret contient également le film “Marcel Ophüls, parole et musique” de François Niney et Bernard Bloch.

Dans sa maison de Lucq de Bearn, Marcel Ophüls a accepté de commenter des extraits choisis de ses films, en vue d’en tirer un discours de sa méthode… En interpellant à l’écran témoins ou protagonistes, le cinéaste ne cherche pas tant à leure faire évoquer des faits passés qu’à juger au présent des circonstances ou des actes commis alors. Au lieu de simplement regarder passer les trains de l’Histoire, les films de Marcel Ophüls nous engagent à juger de nos comportements.

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