Des montagnes, des collines, des prés : dans les vallées du Caucase, les paysages sont des livres ouverts. Ses habitants aiment écouter et parler. Ils lisent et jouent des poèmes, en célébrant l’amour et la nature. Mais toute cette harmonie et tout cet espoir dans le futur sont brisés par l’irruption soudaine du présent. Un conte marqué par une mise en scène qui aurait aussi plu à Straub et Paradjanov.