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Nos guerres imprudentes

  • Randa Chahal Sabbag
1995
61

Synopsis

Frédéric Touchard propose un tour d’horizon des nouvelles tendances du fado depuis la révolution des Oeillets qui, en 1974, mit pacifiquement un terme au régime fasciste du général Salazar. Si la chanson populaire portugaise évolue en même temps que la société, les jeunes générations restent attachées à la culture traditionnelle, même s’ils osent parfois l’instrumentation électrique.

Jusqu’à la Révolution de 1974, la “dernière révolution romantique d’Europe”, le fado était perçu comme le symbole du fascisme, la musique officielle du régime, selon Vitorino, l’une des grandes voix du Portugal démocratique. “Le fado n’est pas pessimiste, il est lucide et réaliste, il dit une vérité crue, parfois difficile à entendre”, précise Paulo Bragança, étoile montante de la jeune génération. Le “novo fado” se distingue du fado traditionnel en tentant de s’inscrire dans le présent, révélant, dans la foulée de Madredeus et Bevinda, une profusion de voix nouvelles : Amelia Muge, Dulce Pontes, Janita Salome, Misia, Camane, Ala Dos Namorados, etc. Sans vraiment approfondir le sujet, sur les images nostalgiques d’un Portugal immuable, ce documentaire donne cependant la parole à toute une palette de chanteurs qui ont marqué ces dernières années.

Mots clés

Frédéric Touchard propose un tour d’horizon des nouvelles tendances du fado depuis la révolution des Oeillets qui, en 1974, mit pacifiquement un terme au régime fasciste du général Salazar. Si la chanson populaire portugaise évolue en même temps que la société, les jeunes générations restent attachées à la culture traditionnelle, même s’ils osent parfois l’instrumentation électrique.

Jusqu’à la Révolution de 1974, la “dernière révolution romantique d’Europe”, le fado était perçu comme le symbole du fascisme, la musique officielle du régime, selon Vitorino, l’une des grandes voix du Portugal démocratique. “Le fado n’est pas pessimiste, il est lucide et réaliste, il dit une vérité crue, parfois difficile à entendre”, précise Paulo Bragança, étoile montante de la jeune génération. Le “novo fado” se distingue du fado traditionnel en tentant de s’inscrire dans le présent, révélant, dans la foulée de Madredeus et Bevinda, une profusion de voix nouvelles : Amelia Muge, Dulce Pontes, Janita Salome, Misia, Camane, Ala Dos Namorados, etc. Sans vraiment approfondir le sujet, sur les images nostalgiques d’un Portugal immuable, ce documentaire donne cependant la parole à toute une palette de chanteurs qui ont marqué ces dernières années.

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