“No Border”, comme ces amibes, noires et fugitives, qui ouvrent un film au noir et blanc saturé, ode rythmique et comme un rappel du cinéma pur des années 1920 ; “No Border”, la sensualité universelle de visages et de corps à la chorégraphie élémentaire, rehaussée par la musique (Part, Schnittke, Ligeti) ; “No Border”, l’hypocrisie d’une politique européenne et française où la circulation des populations cède le pas à celle du capital.
Ce film est disponible sur un DVD qui propose également Un Homme idéal – (Fragments K.), (2008) et N’entre pas sans violence dans la nuit, (2008).