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Métamorphose d’une gare

  • Thierry Michel
2009
58

Synopsis

La construction de la gare TGV de Liège dura neuf ans et sur ce chantier pharaonique qui commença en novembre 2000 travaillèrent des ouvriers venus de toute l’Europe.Le film en suit la progression depuis son projet initial et sa maquette, les premiers coups de pelle puis le chantier au quotidien avec ses difficultés, ses défis permanents, ses tensions, les rapports de force entre l’autorité politique et la gestion des travaux mais aussi l’enthousiasme et la fierté. Conçu par l’architecte espagnol Santiago Calatrava, l’édifice est à la fois léger et majestueux, transparent et harmonieux : il a allié les technologies les plus pointues à l’artisanat. L’utopie devient peu à peu réalité mais certains dénoncent son coût, la mégalomanie de S. Calatrava qui ne tient pas compte de l’urbanisme environnant.La réalisation classique alterne les prises de vue du chantier, du bâtiment, du « work in process, les images additionnelles et les nombreux témoignages des acteurs :Santiago. Calatrava, toujours très présent sur le chantier, le commanditaire, les ingénieurs, les ouvriers…et les habitants du vieux quartier proche. Si Thierry Michel souligne l’esthétique aérienne de la gare, par quelques bribes de phrases, il dénonce l’aberration d’une telle réalisation.

Mots clés

La construction de la gare TGV de Liège dura neuf ans et sur ce chantier pharaonique qui commença en novembre 2000 travaillèrent des ouvriers venus de toute l’Europe.Le film en suit la progression depuis son projet initial et sa maquette, les premiers coups de pelle puis le chantier au quotidien avec ses difficultés, ses défis permanents, ses tensions, les rapports de force entre l’autorité politique et la gestion des travaux mais aussi l’enthousiasme et la fierté. Conçu par l’architecte espagnol Santiago Calatrava, l’édifice est à la fois léger et majestueux, transparent et harmonieux : il a allié les technologies les plus pointues à l’artisanat. L’utopie devient peu à peu réalité mais certains dénoncent son coût, la mégalomanie de S. Calatrava qui ne tient pas compte de l’urbanisme environnant.La réalisation classique alterne les prises de vue du chantier, du bâtiment, du « work in process, les images additionnelles et les nombreux témoignages des acteurs :Santiago. Calatrava, toujours très présent sur le chantier, le commanditaire, les ingénieurs, les ouvriers…et les habitants du vieux quartier proche. Si Thierry Michel souligne l’esthétique aérienne de la gare, par quelques bribes de phrases, il dénonce l’aberration d’une telle réalisation.

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