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Couleurs de fête ou la palette d’Henri Fischer

  • Auguste Vonville
2000
26

Synopsis

Rentrer dans les coulisses du théâtre du carnaval avec Henri Fischer vous entraîne dans un voyage hors du temps.
Henri Fischer connaît bien ce monde où le temps est souvent histoire de minutes, la dernière pour mettre la main à la pâte. C’est en 1945 qu’il entre au Théâtre Municipal de Mulhouse comme machiniste. Et les pages de son grand livre se sont écrites.
Il n’a jamais quitté les coulisses, avec ses odeurs si particulières de scène, de peinture, de bois de sapin coupé pour les décors. Il en a monté et démonté des décors. Il en a vu des vedettes, les Perrier, Blier, Marais, Michel Simon. Des bons souvenirs qui réchauffent le coeur. Des anecdotes, il en a des tonnes à raconter.
Parallèlement, il entre dans une autre institution mulhousienne. Il entre dans la grande forteresse du Théâtre alsacien de Mulhouse. Il participe aussi au Herre’n owe pour les accessoires et les tableaux. Henri Fischer est fier d’être alsacien et la culture dialectale, il la sert.
Mais là où il s’exprime vraiment, c’est bien dans l’antre du carnaval de Mulhouse. Depuis 1954, date du premier carnaval de Mulhouse, Henri est de la partie.
À 77 ans il comptabilise 46 ans dans les décors de carnaval, 46 ans dans un monde rempli de couleurs. Lorsqu’on passe la porte des vastes ateliers de la rue du Rhein, on est subitement plongé dans un décor félinien grandeur nature. Ici les ébauches de char côtoient les masques et squelettes de fil de fer dans un joyeux désordre de pots de peinture et de contre-plaqué.

Mots clés

  • Alsace
  • Arts du spectacle
  • Carnaval
  • Civilisation
  • Culture
  • Dialecte
  • Mulhouse
  • Théâtre

Rentrer dans les coulisses du théâtre du carnaval avec Henri Fischer vous entraîne dans un voyage hors du temps.
Henri Fischer connaît bien ce monde où le temps est souvent histoire de minutes, la dernière pour mettre la main à la pâte. C’est en 1945 qu’il entre au Théâtre Municipal de Mulhouse comme machiniste. Et les pages de son grand livre se sont écrites.
Il n’a jamais quitté les coulisses, avec ses odeurs si particulières de scène, de peinture, de bois de sapin coupé pour les décors. Il en a monté et démonté des décors. Il en a vu des vedettes, les Perrier, Blier, Marais, Michel Simon. Des bons souvenirs qui réchauffent le coeur. Des anecdotes, il en a des tonnes à raconter.
Parallèlement, il entre dans une autre institution mulhousienne. Il entre dans la grande forteresse du Théâtre alsacien de Mulhouse. Il participe aussi au Herre’n owe pour les accessoires et les tableaux. Henri Fischer est fier d’être alsacien et la culture dialectale, il la sert.
Mais là où il s’exprime vraiment, c’est bien dans l’antre du carnaval de Mulhouse. Depuis 1954, date du premier carnaval de Mulhouse, Henri est de la partie.
À 77 ans il comptabilise 46 ans dans les décors de carnaval, 46 ans dans un monde rempli de couleurs. Lorsqu’on passe la porte des vastes ateliers de la rue du Rhein, on est subitement plongé dans un décor félinien grandeur nature. Ici les ébauches de char côtoient les masques et squelettes de fil de fer dans un joyeux désordre de pots de peinture et de contre-plaqué.

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