À La Louvière ( Belgique) , le Snark est une institution d’éducation spécialisée autogérée recevant chaque année une trentaine d’adolescents présentant des troubles du comportement. Le film est la chronique d’une année scolaire au seine de cet établissement, mêlant une approche d’ensemble, des activités zvec des plongées rapides mais profondes dans l’intimité de certains élèves, dotn le profil s’oublie d’autant moins qu’il réveille aussi la mémoire des 400 coups ou des films des frères Dardenne. Le réalisateur semble d’emblée se fonde dans le paysage et la caméra trouve naturellement la bonne distance face aux adolescents, un signe évident de l’implication forte de l’équipe éducative, qui tente par le recours au dialogue permanent de construire une relation apaisée avec les jeunes élèves.