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Borobudur

  • Arnold Pasquier
2015
78

Synopsis

A Palerme, circulant à scooter, un jeune homme s’intéresse à l’architecture moderne. Au fil de ses promenades, plusieurs rencontres successives l’amènent à se mouvoir différemment dans la ville, à la recherche d’un dialogue constant avec le bâti. Au sein de ce territoire amoureux dessiné entre documentaire et fiction, Arnold Pasquier recueille l’intimité d’un rapport inédit entre la danse, l’espace urbain et l’architecture.

Dans “Borobudur”, la ville est abordée de façon abstraite à travers une appréhension physique des espaces et des lignes qui la définissent. En parcourant Palerme, Federico élabore une gestuelle qui interagit avec les composantes de l’architecture : verticalité et horizontalité, lignes droites ou courbes, profondeur et perspective. À l’inverse, c’est un discours très concret qui lui est énoncé par un enseignant d’abord, puis par un groupe d’architectes et urbanistes de l’association Sauvez Palerme, déployant devant lui une carte pour y pointer les lieux qu’il lui faut encore impérativement découvrir. La ville se laisse en définitive percevoir telle que Federico la rêve, au cours de ses déambulations diurnes et nocturnes : sous les traits d’un amant indien ; au rythme des musiques de l’une des pièces charnières de Pina Bausch (“Palermo Palermo”) ; ou encore dans le temps suspendu d’un atelier de danse dirigé par Damiano Ottavio Bigi, collaborateur de la chorégraphe allemande disparue.

Mots clés

  • Architecture
  • Danse
  • Palerme
  • Ville

A Palerme, circulant à scooter, un jeune homme s’intéresse à l’architecture moderne. Au fil de ses promenades, plusieurs rencontres successives l’amènent à se mouvoir différemment dans la ville, à la recherche d’un dialogue constant avec le bâti. Au sein de ce territoire amoureux dessiné entre documentaire et fiction, Arnold Pasquier recueille l’intimité d’un rapport inédit entre la danse, l’espace urbain et l’architecture.

Dans “Borobudur”, la ville est abordée de façon abstraite à travers une appréhension physique des espaces et des lignes qui la définissent. En parcourant Palerme, Federico élabore une gestuelle qui interagit avec les composantes de l’architecture : verticalité et horizontalité, lignes droites ou courbes, profondeur et perspective. À l’inverse, c’est un discours très concret qui lui est énoncé par un enseignant d’abord, puis par un groupe d’architectes et urbanistes de l’association Sauvez Palerme, déployant devant lui une carte pour y pointer les lieux qu’il lui faut encore impérativement découvrir. La ville se laisse en définitive percevoir telle que Federico la rêve, au cours de ses déambulations diurnes et nocturnes : sous les traits d’un amant indien ; au rythme des musiques de l’une des pièces charnières de Pina Bausch (“Palermo Palermo”) ; ou encore dans le temps suspendu d’un atelier de danse dirigé par Damiano Ottavio Bigi, collaborateur de la chorégraphe allemande disparue.

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