Laurence Attali part à la recherche du baobab de son rêve dans le pays dont il est l’emblème : le Sénégal. La route qu’elle emprunte pour ce journal onirique, de la réserve de Bandia aux roulottes de Dakar en passant par le club du Baobab, est parsemé de rencontres réelles ou mises en scènes, baroques ou anodines, et des voix mêlées de la bande sonore qui égrènent des “sentences de baobab” sur fond d’élections présidentielles en mars 2000.