Au bonheur des dames ?
Agnès Lejeune et Gaëlle Hardy
2018 | 68’ | Les films de la Passerelle
Tous les matins elles s’en vont travailler chez les autres. Certaines d’entre elles n’ont pas fait d’études : elles ont connu le travail en usine, ou au noir. D’autres encore ont été vendeuses, éducatrices, enseignantes ou aides-soignantes… Un travail qui, à en croire une opinion encore très largement répandue, n’exigerait aucune qualification.
Agnès Lejeune et Gaëlle Hardy
2018 | 68’ | Les films de la Passerelle
Tous les matins elles s’en vont travailler chez les autres. Certaines d’entre elles n’ont pas fait d’études : elles ont connu le travail en usine, ou au noir. D’autres encore ont été vendeuses, éducatrices, enseignantes ou aides-soignantes… Un travail qui, à en croire une opinion encore très largement répandue, n’exigerait aucune qualification.
Aujourd’hui elles sont plus de 165 000 employées dans le secteur des titres-services». Ce chant choral inédit dessine le contour de la condition de ces femmes courageuses et lumineuses qui font le pari d’écrire une nouvelle page de leur travail…
A la maison de l’image, 31 rue Kageneck
2 ème étage
Entrée libre et gratuite
2 ème étage
Entrée libre et gratuite