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En souriant à l’invisible – Édouard Boubat

  • Itaka Schlubac'h
1998
25

Synopsis

Seul ou en compagnie d’amis (Peter Turnley, Isabelle Townsend), Edouard Boubat déambule avec son appareil photo dans Paris, le long des quais, sur l’île Saint-Louis, au jardin du Luxembourg et à Veulettes, en bord de mer. Chez lui ou dans des brasseries, il se livre avec simplicité et modestie à une réflexion sur sa pratique : “Les photos sont là pour tout le monde, moi, je ne fais que les ramasser.”

Les premières photographies d’Edouard Boubat (1923 – 2000), dans les années 1950, portent la trace d’un Paris disparu, transmis dans le monde entier par le biais des cartes postales. “Ouvrir la boîte, faire entrer un peu de lumière et emmener avec soi un château” est l’un des premiers émerveillements créé par cette technique. Elle est en tout cas le moyen de voir ce qui nous entoure, de capter ce quelque chose en plus, peut-être spirituel, qui fait toute notre vie : approcher le moment où la lumière apparaît. Rencontre avec l’infini, signe inscrit sur tout subjectif, la photographie devient, dans le cas des portraits, le révélateur qui ouvre “chacun de nous à ce qu’il porte en lui-même”, moment magique où nous déposons les voiles dont nous sommes couverts pour gagner un peu de liberté.

Mots clés

Seul ou en compagnie d’amis (Peter Turnley, Isabelle Townsend), Edouard Boubat déambule avec son appareil photo dans Paris, le long des quais, sur l’île Saint-Louis, au jardin du Luxembourg et à Veulettes, en bord de mer. Chez lui ou dans des brasseries, il se livre avec simplicité et modestie à une réflexion sur sa pratique : “Les photos sont là pour tout le monde, moi, je ne fais que les ramasser.”

Les premières photographies d’Edouard Boubat (1923 – 2000), dans les années 1950, portent la trace d’un Paris disparu, transmis dans le monde entier par le biais des cartes postales. “Ouvrir la boîte, faire entrer un peu de lumière et emmener avec soi un château” est l’un des premiers émerveillements créé par cette technique. Elle est en tout cas le moyen de voir ce qui nous entoure, de capter ce quelque chose en plus, peut-être spirituel, qui fait toute notre vie : approcher le moment où la lumière apparaît. Rencontre avec l’infini, signe inscrit sur tout subjectif, la photographie devient, dans le cas des portraits, le révélateur qui ouvre “chacun de nous à ce qu’il porte en lui-même”, moment magique où nous déposons les voiles dont nous sommes couverts pour gagner un peu de liberté.

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