Une antenne satellite, dans le visage et la poitrine de l’artiste, tourne, enregistre, diffuse sans cesse vrillant la chair de l’homme. Fidel Castro, agissant comme une marionnette parle de révolution. Origine et fin de ce discours média mis en abîme, le satellite retient sa course dans l’angle azimuthé.
L’artiste se penche pour se protéger.